Je suis en plein accord avec ce qui vient d'être dit. Lorsque je me rends dans les instituts médico-éducatifs de mon département, les enfants atteints de trisomie 21 représentent entre 45 % et 60 % des jeunes accueillis. Une impression de résignation se dégage et l'on a bien souvent le sentiment qu'aucune action ne peut être engagée pour améliorer leur situation. Il serait donc souhaitable de mentionner explicitement la recherche sur la trisomie 21 à l'article 12 bis.