a relevé que le document de Montreux n'avait été signé que par une trentaine de pays, ce qui affaiblissait d'autant sa portée. Il s'est interrogé sur les divergences de positions vis-à-vis des SMP entre les membres de l'OTAN, s'inquiétant des conséquences possibles en cas d'interventions conjointes. Il a fait état d'une question posée la veille en commission au ministre de la défense, M. Hervé Morin, sur le cas de l'opération Atalanta, et a estimé la réponse obtenue peu convaincante.