s'est déclaré surpris par l'accent mis par l'orateur sur la faiblesse de l'Iran. Il a relevé que ce qualificatif n'était pas précisément celui qu'utilisaient les voisins de ce pays. Il a souhaité des précisions sur le clivage entre le chiisme et le sunnisme, tel que présenté dans le discours des autorités jordaniennes et saoudiennes sur le développement du « croissant chiite ». Il a considéré que, dans l'hypothèse d'un éclatement de l'Irak, ce clivage serait pertinent. Il a estimé que l'argument de la faiblesse de l'Iran pourrait contribuer à conforter les thèses des Etats-Unis en faveur d'une chute du régime.