a souligné que le lien établi par de nombreux préfets entre la lutte contre les drogues et la prévention routière a eu un effet déresponsabilisateur sur tous les non-conducteurs. Au sein du conseil de modération où il siège, il constate la difficulté à établir une synthèse qui permette d'avoir un discours accepté par les producteurs en matière de prévention du risque alcool. Il a enfin désiré connaître la part des crédits alloués aux thérapies de substitution et leur efficacité.