a admis qu'il n'avait pas trouvé de réponse satisfaisante au problème du non-recouvrement des contributions des entreprises et que l'information des Copire représentait simplement une tentative de responsabiliser les professionnels. On ne peut en effet laisser la sécurité sociale gérer seule la masse de contentieux suscités par le recouvrement de la contribution.
Les associations ont accompli un travail remarquable, mais leur position est aujourd'hui difficile à comprendre. Peut-être le fait d'avoir mené leurs activités pendant si longtemps les conduit-elles, aujourd'hui, à se soucier surtout de leur propre préservation.
Concernant la prévention, il a enfin souligné que le développement des maladies professionnelles à haut risque cancérigène constitue une menace insuffisamment prise en compte.