Abordant le cas des donneurs vivants, Mme Emmanuelle Prada-Bordenave, directrice générale, a rappelé qu'au terme de la loi, ceux-ci ne doivent subir aucune charge financière du fait de leur don. Or les compagnies d'assurances exigent systématiquement des surprimes lors des demandes de prêts émanant de donneurs. Cela constitue un frein important et totalement absurde, s'agissant de surcroît de personnes reconnues en excellente santé, puisqu'en capacité de faire un don d'organe. Il est nécessaire d'agir en partenariat avec les associations pour convaincre les compagnies d'assurances de revoir cette pratique.