revenant sur l'influence de l'Iran sur le Hezbollah, a estimé que ses membres étaient libanais avant tout et que, par conséquent, l'intégration politique de ce mouvement dans le jeu politique libanais était essentiel. Il a fait valoir que l'organisation politique « clanique » et quasi « féodale » du Liban, liée à son histoire et au rôle des grandes puissances, dont la France, dans la naissance de cet Etat, était, volens nolens, une réalité avec laquelle il fallait compter. Le soutien de parlementaires extérieurs, et notamment français, à l'égard de leurs collègues libanais pouvait peser favorablement sur une évolution positive des comportements politiques.