a salué la volonté de la commission de défendre la TVA sociale. Il a estimé que les différents travaux réalisés dans ce cadre clarifiaient utilement les enjeux du débat. Dans la mesure où le bénéfice de la protection sociale ne se trouvait plus réservé aux seuls salariés, compte tenu d'innovations législatives telles que la couverture maladie universelle (CMU), il a estimé pertinente une fiscalisation de son financement.
Il a alors présenté différentes hypothèses de réforme du financement de la protection sociale, en vue d'abaisser le coût du travail, parmi lesquelles la TVA sociale. Sur ce point, toutefois, il a fait part de réserves, tenant notamment aux effets que la mesure aurait en termes d'inflation.