a fait valoir que les études réalisées tendaient à montrer que la TVA sociale ne serait pas créatrice d'emplois. Il s'est défendu d'ignorer ces travaux, mais, au contraire, a indiqué qu'il se demandait dans quelle mesure la TVA sociale pouvait améliorer la compétitivité française grâce à un allègement du coût du travail. Il a donc souhaité que cette réflexion se poursuive, et soulevé deux questions. D'une part, il s'est interrogé sur la compatibilité entre une hausse de la TVA et les mécanismes d'indexation, voire de « coup de pouce », existant en faveur du SMIC. D'autre part, il a considéré que le financement du niveau actuel des dépenses de protection sociale impliquait une hausse des prélèvements obligatoires.