cependant, a estimé indispensable d'abaisser le niveau des charges supportées par les entreprises. Il a interrogé M. Philippe Marini, rapporteur général, sur la validité, aujourd'hui, des simulations qu'il avait présentées en novembre 2004 dans son rapport d'information n° 52 (2004-2005) sur les prélèvements obligatoires et leur évolution, intitulé « Pour une fiscalité plus compétitive ». Selon celles-ci, une baisse des cotisations employeurs de 15 milliards d'euros, soit 1 % du PIB environ, augmenterait le PIB de 0,6 point et réduirait le taux de chômage de 1,8 point, tout en étant neutre pour le solde public à partir de la quatrième année.