a précisé que cette étude avait été réalisée par le Centre d'observation économique (COE) de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris. Il a considéré que ses résultats, selon toute vraisemblance, demeuraient valides. Toutefois, il a indiqué qu'une baisse des cotisations employeurs à hauteur de 30 milliards d'euros, soit un peu moins de 2 % du PIB, aurait désormais sa préférence. En effet, il a estimé que les effets vertueux attendus d'une telle réforme ne pourraient être que renforcés par une opération plus massive que celle qui avait été retenue, en 2004, à titre d'hypothèse de travail.