a estimé que le raisonnement fondé sur une équivalence entre les cotisations sociales et la TVA sociale trouvait sa limite dans le contexte actuel d'augmentation du nombre des inactifs qui faisait évoluer de façon dissymétrique l'assiette respective de ces deux types de prélèvements. Il a rappelé, en effet, que la TVA était payée par les consommateurs, dont seule une partie était des actifs.
Il s'est ensuite interrogé sur la répartition de la marge dégagée grâce à une baisse des charges sociales entre la hausse des prix, le financement des investissements et du capital, et la rémunération du travail. Dans cette perspective, il a estimé que le capitaliste français ne devait pas être stigmatisé pour un comportement prétendument anti-social.