est revenu sur la nécessité de réformes structurelles profondes en rappelant que l'Allemagne n'avait augmenté son taux de TVA qu'au terme de plusieurs années d'une politique de compétitivité ayant fortement pesé sur les salaires et fortement accru la concurrence avec ses partenaires européens.
Doutant qu'une TVA sociale puisse avoir des effets sectoriels différenciés, il a fait valoir qu'une contribution sur la valeur ajoutée permettrait de taxer davantage les secteurs capitalistiques au profit des secteurs à forte intensité de main-d'oeuvre.