a estimé que le problème des violences conjugales ne trouvait pas un écho suffisant dans les médias. Elle a reconnu d'ailleurs que très souvent les victimes de ces violences étaient réticentes à les évoquer, et s'est demandé comment on pouvait les aider à surmonter leur sentiment de honte.
Elle a regretté que de nombreuses jeunes femmes continuent d'être orientées vers des filières soi-disant « féminines », mais dépourvues de débouchés, alors que la force physique n'est plus, aujourd'hui, un critère pertinent pour accéder aux filières techniques. Elle a souhaité que les femmes soient davantage incitées à travailler dans des univers considérés comme masculins, comme par exemple le monde industriel.