Répondant à M. Yves Détraigne qui invoquait le précédent du Contrôleur général des lieux de privation de liberté, M. Jean-Jacques Hyest, président, a indiqué que la loi relative au Contrôleur général des lieux de privation de liberté avait expressément prévu, indépendamment de la révision constitutionnelle, ce vote à la majorité simple des membres des commissions.