a souhaité savoir si les succès électoraux des islamistes avaient conduit les Etats-Unis à réviser leur stratégie de démocratisation du « Grand Moyen-Orient ». Par ailleurs, évoquant la récente audition par la commission du chargé d'affaires iranien à Paris, il a relevé que l'Iran semblait bien, lui aussi, déterminé à s'imposer comme un partenaire majeur vis-à-vis du Hamas, notamment par son soutien financier.