a rappelé qu'une réglementation obligatoire risque de se traduire par l'obligation pour l'Etat de rembourser aux distributeurs la différence constatée entre, d'une part, le prix fixé par l'Etat et, d'autre part, le coût supporté par les entreprises de la grande distribution. A l'inverse, si cette réglementation reste une faculté, elle constitue une « arme dissuasive » forte envers les distributeurs. Il a, à nouveau, insisté sur la volonté politique du Gouvernement de rendre plus transparents les mécanismes de formation des prix en outre-mer.