Il serait quand même légitime que le patron ait son mot à dire. Or, avec votre texte, l'équipe rédactionnelle aurait un droit de veto et le directeur de la publication resterait le seul pénalement responsable alors qu'il n'aurait plus en dernier ressort la maîtrise de la ligne éditoriale. Nous sommes d'accord sur les objectifs, mais ce texte porte les germes de conflits durs.