a abondé dans le même sens, jugeant, lui aussi, que lesdites provisions couvraient bien l'ensemble des risques identifiés.
A cet égard, il a souhaité faire un rappel précis du calendrier, par souci de clarté. Il a ainsi rappelé que, nommé président de l'EPIC ANVAR en août 2004, il avait fait part de ses premiers doutes concernant les comptes au conseil d'administration dès octobre 2004 et fait mener une mission de « remise à niveau » par un grand cabinet d'audit anglo-saxon entre novembre 2004 et mars 2005. Il a enfin mis en avant que, du fait de ce travail, qui s'était étalé sur 18 mois, OSEO fonctionnait à présent selon les standards des établissements financiers.
En conclusion, M. Jean-Pierre Denis a souhaité que ne subsiste pas l'impression, à l'issue de l'audition, que les désordres passés ont encore cours, se disant aussi sensible que les parlementaires à l'utilisation efficiente de l'argent public.
Puis la commission a décidé, à l'unanimité, de publier l'enquête de la Cour des comptes au sein d'un rapport d'information.