En réponse, M. Christian Noyer n'a pas exclu que surviennent des faillites difficiles à absorber. Il a cependant considéré qu'un encadrement trop strict des « hegde funds » au niveau communautaire les inciterait à se délocaliser.
En ce qui concerne le projet de directive « solvabilité II », il a indiqué qu'il partageait les préoccupations du rapporteur général.