En réponse, M. Christian Noyer a indiqué que ce montant s'était élevé à 250 millions d'euros, dont 90 millions d'euros concernant de l'immobilier résidentiel, le reste consistant en d'anciennes succursales. Il a indiqué que si le programme de cessions était à peu près terminé, la Banque de France envisageait de vendre les locaux, manifestement surdimensionnés, de certaines implantations.