Je le répète : les compétences respectives de l'AFD et des Scac doivent être clairement définies. Il faut également se soucier de la lisibilité de notre action. Mais lorsque j'étais à la direction du Trésor, c'est moi qui signais les protocoles financiers et non l'ambassadeur qui s'occupait du « service après-vente », sans que cela pose problème ! L'AFD coordonne déjà ses actions avec le ministère, et comme je l'ai dit, je suis hostile à toute prise de distance vis-à-vis des autorités de tutelle.