Il est en effet essentiel de soutenir les petits projets, en collaborant éventuellement avec des ONG. Nous aurions également besoin d'un vivier de coopérants, non pas à l'image de ceux qui restaient autrefois dix ou quinze ans sur place, mais prêts à être envoyés pour six ou dix-huit mois. Le microcrédit a joué un rôle de première importance en Inde et au Sahel : je pense notamment à l'organisme Kafo Jiginew au Mali.