est revenue sur la priorité du développement d'entreprises créatrices d'emplois. Celle-ci passe par l'amélioration des dispositifs pouvant drainer des capitaux vers les entreprises. On constate en effet que, dans l'ensemble, les entreprises françaises disposent de moins de capitaux que celles des autres pays, au démarrage et pendant leurs premières années de fonctionnement. Certes, la capitalisation ne pourra servir à financer uniquement des « jeunes pousses » mais il est impératif qu'une partie de l'épargne ainsi recueillie soit orientée dans cette direction.