a estimé que la crise que traverse aujourd'hui le bâtiment était moins due au renchérissement des coûts induits par le respect de normes renforcées qu'à la crise financière et économique. Il a également fait observer que dans le contexte actuel de l'élection d'un nouveau président américain, les Etats-Unis seraient susceptibles d'engager leur économie dans une nouvelle révolution industrielle et qu'à cet égard il ne fallait pas que l'industrie européenne prenne du retard. Dans ces conditions, il a jugé absolument nécessaire le déploiement d'outils, à l'image des crédits d'impôt, permettant d'orienter la production européenne vers des technologies de pointe indispensables au maintien des entreprises européennes dans la concurrence internationale.