Tout en précisant n'avoir pas les compétences d'un virologue, Mme Françoise Weber a observé que la vaccination antigrippale annuelle était dirigée contre des virus qui circulent, en fonction du risque qu'ils présentent. Elle a donc estimé qu'il n'y aurait pas lieu de poursuivre la vaccination en l'absence de menaces, sous des formes sévères, pour des sujets jeunes.