s'est interrogé sur les conséquences, pour la position de l'Union européenne dans les négociations, de la méthode retenue par le Président de la République qui déclare publiquement ne pas vouloir sacrifier l'agriculture sur l'autel du libéralisme mondial. Revenant sur les agro-carburants, il a relevé que le dernier Conseil européen sur ce sujet avait fixé l'objectif de recourir à 10 % d'énergies renouvelables dans les transports, mais sans préciser la part des agro-carburants dans ces 10 %. Il s'est enfin soucié de la multiplication d'accords bilatéraux, risquant de marginaliser l'OMC, dont il a observé l'impact des décisions dans des domaines variés (santé, environnement...).