a considéré que les négociations à l'OMC s'apparentaient à un marché de dupes où les marges de manoeuvre sont inexistantes. Concernant le Brésil, elle a confirmé, pour s'y être récemment rendue avec la commission, que ce pays avait engagé un programme national d'agro-carburants très hégémonique. Relevant que les partenaires de la France ne partageaient pas ses préoccupations sociales et environnementales, elle s'est demandé si l'OMC se souciait des « crises de la faim » dans le monde.