de la délégation pour l'Union européenne, a encouragé l'action du Gouvernement pour favoriser la place des PME dans les exportations, s'interrogeant néanmoins sur l'existence d'instruments permettant de mesurer les progrès en la matière. Concernant l'OMC, il a jugé que M. Peter Mandelson semblait se sentir « trop à l'étroit » dans le mandat que lui avaient confié les Etats membres et a regretté le caractère « brouillon » de la mise en cause du Commissaire par le président d'un de ces Etats. Il a estimé que la France devrait en débattre à l'occasion des élections européennes et qu'elle devrait peser plus fortement sur la répartition des portefeuilles au sein de la Commission européenne. Enfin, revenant sur le mouvement de rejet à l'égard de l'Union européenne, il a appelé à s'interroger sur la situation qui résulterait, a contrario, de l'absence de construction.