a jugé que le statut actuel de l'AFP ne constituait en rien un obstacle à sa modernisation, les difficultés rencontrées par l'Agence dans son développement technologique tenant bien plus aux erreurs de gestion des directions passées.
Il s'est déclaré particulièrement sceptique sur l'idée de transformer l'AFP en une société anonyme dont le capital associerait des actionnaires publics ou privés, ces derniers étant en droit d'attendre une contrepartie aux investissements consentis, que ce soit en termes de rentabilité ou d'orientation de la ligne éditoriale.