Il s'agit en effet d'un problème complexe. S'agissant des armes légères et de petit calibre, il faut savoir que les quatre cinquièmes de celles qui sont utilisées ne sont pas neuves, mais proviennent de stocks existants, qui on pu servir à l'occasion de conflits antérieurs, comme ceux ayant affecté les Balkans ou le Liban. La communauté internationale s'efforce d'accompagner leur gestion et leur destruction. Plusieurs programmes européens sont en cours, en ex-URSS par exemple. D'autre part, le pays qui décide du transfert de ces armes d'occasion doit en être tenu politiquement responsable.