a précisé qu'à l'époque, cette marque italienne n'avait pas eu recours à une agence de publicité et que ses campagnes avaient été décidées par la famille de ses propriétaires et réalisées par un photographe choisi par celle-ci. Elle a considéré que la liberté de création pouvait avoir pour conséquence que certaines publicités passent entre les « mailles du filet » de l'autorégulation, mais a fait remarquer qu'il s'agissait de cas qui demeurent isolés.