a fait observer que les photographies en question avaient, à l'époque, suscité un véritable débat de société et qu'elles avaient eu certes des détracteurs, mais aussi des partisans, et que l'afficheur avait ainsi pu sous-estimer leur impact, d'autant plus que le photographe lui-même affirmait rechercher, grâce à ses clichés, une meilleure intégration des personnes séropositives et des malades du SIDA dans la société. Elle a considéré que le caractère choquant de cette campagne provenait du mélange des genres entre la publicité pour une marque et le débat de société.