a indiqué que ce phénomène était très visible il y a cinq ans et que les professionnels de ce secteur avaient alors été contactés pour leur faire prendre conscience que leur conception de la liberté créatrice, inspirée de l'esthétisme en vogue chez les grands couturiers new-yorkais, pouvait comporter une dimension choquante pour le grand public.
Estimant qu'une prise de conscience avait permis de faire retomber cette mode, elle a souligné à partir de cet exemple l'intérêt d'un dialogue avec les professionnels concernés pour parvenir à une autorégulation.