a regretté que le projet de loi n'aborde pas de manière spécifique le problème, qu'elle a jugé crucial, de la consommation des espaces naturels agricoles et forestiers : observant que la surface d'un département était « consommée » tous les dix ans, elle aurait souhaité que des dispositions législatives permettent de lutter contre cette évolution, par exemple en soumettant l'élaboration des PLU à une évaluation permettant d'agréger leurs conséquences sur la réduction des surfaces naturelles.