revenant sur la priorité à donner à la couverture numérique du territoire, s'est demandé ce qui pouvait effectivement être fait pour les 5 % du territoire actuellement non couverts. Il s'est demandé également si l'ARCEP pouvait développer une activité de conseil auprès des collectivités territoriales en matière d'implantation d'antennes de téléphonie mobile et de couverture numérique. Quant à la qualité du service postal et à l'« obsession » d'améliorer le J+1, il s'est interrogé sur l'impact négatif induit par l'heure de dépôt des plis dans des zones peu desservies.