a regretté que, sur la question centrale de la drogue et de son rôle dans le conflit afghan, aucune réponse satisfaisante n'ait été apportée, un certain fatalisme conduisant à conclure à l'absence de solution. Il a demandé dans quelle mesure les différents moyens techniques de localisation et d'éradication avaient été utilisés, ainsi que le soutien aux cultures de substitution. Il a plaidé pour un engagement plus fort de la France et de la communauté internationale sur cet aspect.