a précisé que les forces françaises engagées en Afghanistan étaient placées sous le commandement de l'OTAN mais que subsistait, en parallèle, une chaîne de commandement nationale exerçant un contrôle continu des actions entreprises. Il a indiqué que la France n'avait pas édicté de « caveat » pour l'emploi de ses forces.
S'agissant des moyens de renseignement, il est convenu que des améliorations pouvaient être apportées, tant pour renforcer nos contacts au sein des milieux afghans que pour mieux nous intégrer à la chaîne de renseignement de la FIAS.
En conclusion, il a appelé à la poursuite de l'effort engagé à travers notre participation à l'opération de la FIAS, en vue notamment d'étendre progressivement à d'autres régions le transfert de responsabilité aux autorités afghanes actuellement en cours dans la région Centre.