Rappelant les termes du débat sur le risque de sclérose en plaque du fait du vaccin contre l'hépatite B, M. Claude Le Pen a estimé que la politique vaccinale doit trouver un équilibre entre le bénéfice de la vaccination et le risque d'effets secondaires indésirables. Il a fait valoir que, depuis l'agitation autour de la campagne de vaccination de 1994 contre l'hépatite B, l'Etat est très frileux pour relancer une politique vaccinale de grande ampleur.