a admis, citant l'exemple de l'entreprise Moulinex, qu'il avait pu y avoir, par le passé, des dérives dans l'utilisation du fonds, mais qu'il y avait mis fin dès son arrivée au ministère en 2004, en définissant une doctrine rigoureuse. Il a ajouté qu'il n'avait jamais été soumis à aucune pression concernant le montant de l'enveloppe budgétaire allouée au FCAATA.