a insisté sur la dimension subliminale de certaines de ces publicités et a constaté que la suggestion de relations sexuelles pouvait être utilisée comme argument de vente, estimant qu'elle pouvait parfois constituer une véritable provocation au viol. Citant l'exemple de grandes marques de luxe italiennes, elle a considéré que certaines de leurs publicités pouvaient présenter un caractère insidieux.