a rappelé que la loi du 4 avril 2006 renforçant la prévention et la répression des violences au sein du couple ou commises contre des mineurs, d'initiative sénatoriale, comportait déjà de nombreuses dispositions destinées à mieux lutter contre ce fléau, et a regretté certains propos tenus sur ce sujet par Mme Ségolène Royal, qui avait semblé ignorer l'existence de cette loi. Elle a souligné qu'il convenait d'abord d'en évaluer précisément l'application sur le terrain, avant de songer à l'adoption d'une nouvelle loi.