Evoquant la comparaison effectuée par ce dernier entre un club et une entreprise « classique », M. Jacques Valade, président, a fait toutefois valoir le caractère non pérenne du « fonds de commerce » d'une SAOS, constitué de l'équipe de joueurs. Il a estimé que l'inévitable volatilité de la valorisation de cette dernière pouvait être préoccupante en cas d'ouverture du capital aux marchés financiers. Par ailleurs, il a demandé si l'introduction en Bourse d'un club ne risquerait pas de modifier sa politique sportive. Il a relevé, enfin, le caractère relativement précaire du statut de salarié du sportif professionnel.