En réponse à Mme Annie David, qui s'interrogeait sur une possible baisse de l'indemnisation du chômage comme conséquence des gains de productivité recherchée, M. Geoffroy Roux de Bézieux a indiqué qu'il s'agissait d'assurer un suivi plus efficace des demandeurs et non de baisser le niveau des prestations de l'assurance chômage. Il a ajouté que si les comptes de l'Unédic connaissaient un déficit de 9,6 milliards d'euros, le remboursement progressif de la dette permettrait d'atteindre l'équilibre financier en 2010.