Après avoir relevé que la capitalisation boursière de Gazprom atteignait certes 460 milliards de dollars, mais que l'entreprise avait probablement d'autres intérêts, M. Ladislas Poniatowski, rapporteur, a rappelé que les participations combinées de l'Etat, de la Caisse des dépôts et consignations et du noyau dur des actionnaires actuels de Suez représenteraient 46 % du nouvel ensemble, et que l'Etat français avait les moyens de se défendre contre une OPA. Par ailleurs, il a souhaité que la qualité de service fournie par les prestataires de maintenance d'EDF et de GDF ne diminue pas du fait de la mise en concurrence de ces entreprises.