Répondant en premier lieu à cette dernière question, M. Hervé Gisserot a cité les déclarations faites à l'époque par le président de l'entreprise, qui avait indiqué devant la mission d'information de l'Assemblée nationale sur la grippe aviaire que GSK n'était pas alors assez avancé dans ses recherches pour répondre à cet appel d'offres.