a indiqué qu'une telle clause n'avait jamais été discutée, sans doute, a précisé Mme Soizic Courcier, parce que l'on était parti du dossier prototype établi pour le vaccin H5N1, pour lequel une injection unique ne paraissait pas envisageable. On avait en outre, au début, beaucoup d'incertitudes sur la virulence et les possibles mutations du virus H1N1.