a précisé que ce n'était que dans les premiers jours de décembre que les interlocuteurs de GSK au ministère de la santé avaient semblé anticiper un excès des stocks de vaccins et envisager des scénarios alternatifs reposant notamment sur la cession d'une partie de ces vaccins. Mais, jusque-là, le seul souci exprimé par les autorités administratives était effectivement celui de l'accélération des livraisons.