Rapportant avoir rencontré, dans son département, des responsables du secteur de la distribution lui ayant communiqué leurs niveaux de marge sur le lait et jugeant qu'ils n'étaient pas choquants, M. Michel Bécot a souhaité savoir comment la valeur ajoutée se répartissait réellement entre les différents acteurs de la filière et aux quels elle profitait le plus. Appelant à se mobiliser face à la fin programmée des quotas en 2015, il a fait remarquer qu'une surproduction structurelle de lait dans l'Union européenne induirait nécessairement une diminution du nombre de producteurs.