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Prônant une restauration des mécanismes de régulation européens ayant permis, par le passé, de lisser les excès et insuffisances d'offre, M. Alain Chatillon a jugé par ailleurs nécessaire de redéfinir clairement l'activité de la DGCCRF et de réviser les lois tendant à établir une plus grande transparence dans les pratiques commerciales. Soulignant que les marges arrières ou pratiques assimilées pouvaient atteindre 40 % du prix des produits, et doutant de la volonté des industriels, soucieux de garder secrets leurs moyens de négociation, de communiquer leurs chiffres commerciaux, il a estimé qu'il appartiendrait sans doute au législateur d'intervenir.